Quelques heures plus tôt...
Je venais de recevoir un fax d'Interpol faisant suite à une demande très spéciale formulée auprès de leurs services concernant les Makarov et leurs membres. Ce fax, en plusieurs copies, était une copie du dossier de Zoara Kalliope Pavlov plus connue sous le pseudonyme d'Hermès chez les Makarov. Une messagère d'après ce qu'en disait le dossier. Elle faisait ce que les Makarov lui disait et réalisait plusieurs boulots pour eux : prévenir un client de l'arrivée du Big Boss lui-même, poser des bombes ou un colis etc. Il fallait que j'aille voir ce qu'elle avait à me dire. Je pris ma tenue d'intervention noire sans insignes ni quoi que ce soit pour ne pas impliquer la Shadow, masque à gaz, bataclava noire, quelques armes dont certaines avec silencieux, un taser, un pistolet tranquillisant et un sac à dos contenant un peu de matériel dont des menottes en nylon ( nylon handcuffs ), lunettes à infrarouge, mines IEM etc. Et quelques trucs de quoi lui faire peur.
Trois heures du matin....
J'arrivais en moto devant son domicile du Point de Chute. Tout était silencieux, surtout quand j'éteignis le moteur. Je vérifiais que j'étais au bon endroit grâce à la boite aux lettres. Un rictus déforma mon visage sous la cagoule noire. Et je défoncais la porte d'un bon coup de pied tout en entrant dans l'appartement. Apparemment, elle fabriquait des bombes. Elle a tenté de se défendre, je lui ai simplement saisi le poignet et laisser se débattre inutilement parce que je tenais bon, jusqu'à ce que son poignet cède, craque et casse d'un coup plus ou moins sec. j'avais entendu le craquement sinistre et lâcher sa main. Erreur. Dans un dernier élan de patriotisme et de témérité, elle a couru jusqu'à la chambre du fond où elle a brisée la fenêtre - pas de temps pour l'ouvrir - et sauter du deuxième étage, jusqu'au plancher de béton. Elle a couru dans la nuit sans te retourner, moi sur ses talons. J'avais abandonné la poursuite pour retourner chez elle et tout déménager. Puis je lui avais laissé un joli petit mot sur son frigo ( la seule chose que j'avais pas dégagé ) qui disait juste : << hahahahahahahahahahaha >>. J'avais attendu son retour apràs avoir faut sauter le disjoncteur ou plutôt l'avoir saccagé. J'étais seul dans le noir, attendant son retour, lunettes thermique monoculaire activées.