Can You Leave Your Hat On ? [ PV Gail ]

Ce mec me rendait complètement dingue. Sous ses mains je n'était plus rien, j'étais incapable de me contrôler, tout mes sens étaient en alertes. Comment était-ce possible qu'un homme puisse avoir autant de pouvoir sur moi? Merde, en temps normal c'est moi qui fait tourner les têtes pas l'inverse. Mais avec lui, je n'avais aucune chance, j'étais foutue, je ne pourrais plus m'en détacher.

Nous étions nus et sous ses mains je me sentais vivante, ma peau brulait sous chacune de ses caresse. Il reprit facilement le dessus, enfin normal vu les tas de muscles qu'il a face à lui j'avais peu de chance. Il m'embrassait tendrement sur les lèvres avant de descendre sur mon ventre et maintenant mon intimité. C'est bien ce que je disais il me rend dingue, j'agrippais les draps, j'allais mourir sous ses mains. Il avait ses mains sur mes cuisses quand soudain il me pris par les hanches et m'envoya sur le ventre avant de me pénétrer. Ce mec était ce qu'il me fallait, enfin je crois. Il commença avec des coups de rein sans grande violence, mais rapidement ses coups de rein se firent forts et intense. Je m'agrippais au lit comme je le pouvais, ce mec me faisait jouir, ca n'était pas arriver depuis...très longtemps. Je sentais ses mains sur mes hanches, encore quelques coups de reins puissant et je craquerais, je ne pourrais résister encore bien longtemps. Mais il craqua le premier, s'effondrant sur le lit, un peu plus et je mourrais. Il me regarda, me sourit, passa sa main dans mes cheveux et posa un baiser sur mon front.

Je reprenais peu à peu ma respiration et mes esprits, je le regardais, il était vraiment sublime. Je l'embrassais furtivement et me levais. Toujours nue je marchais dans la chambre à la recherche d'un paquet de clope, j'en allumais une. Il me fixait. Je regardais alors mon épaule, elle saignait.

" Et merde. "

J'espérais que ca ne laisserait pas de cicatrice et que ca passerait vite. Toujours la cigarette à la bouche je retournais vers lui et remarquais les belles traces violacées que je lui avait laissé dans le cou, je souriait très satisfaite de moi.

Gail se leva, nue et sublime et partit se chercher quelque chose. Elle revint, clope dans la bouche et me souriant et je vis sa cicatrice s'ouvrir. Je me levais et lui dis de s'asseoir et de m'attendre. Nu, je me baladais dans son appartement, et quand je trouvais la salle de bain, je cherchais de quoi soigner la blessure de ma sublime compagne et prit l'alcool à 90°, le produit pour nettoyer les plaies, un peu de bandage, des cotons tiges, et du coton stérile ainsi qu'une aiguille et du fil spécial pour recoudre. Je pris le tout et me rendit dans la chambre. Je m'assis à ses côtés, ouvrit la bouteille d'alcool et arracha un morceau de coton que je badigeonnais pour désinfecter sa plaie. << Ca va piquer un peu >>, lui dis-je tout en passant le coton imbibé sur sa plaie propre. Donc je n'aurais pas besoin du produit pour les nettoyer. Tant mieux. Je passais direct au fil et à l'aiguille. Je passais le fil dans la tête de l'aiguille. Puis pinça sa plaie et la recousu pour la fermer totalement. Je reposais fil et aiguille sur le lit puis banda le tout pour immobiliser son bras. Et l'empêcher de se rouvrir sa plaie par conséquent. J'étais content de moi, le travail était propre et beau. Et Gail encore plus. << Je t'aime >>, lui dis-je encore avant de l'embrasser tendrement sur ses douces lèvres pendant que ma main gauche se perdait dans ses cheveux que je caressais et que ma main libre finissait sur son ventre que je caressais. Je l'embrassais dans le cou toujours aussi tendrement avant de retrouver ses lèvres pour un dernier contact. Puis je me levais, m'habillais et partit dans sa cuisine pour préparer de quoi déjeuner. Il n'y avait quasiment rien ici, alors que dans sa villa , il avait de quoi faire. << Il faut que je te montre quelque chose >>, lui dis-je en souriant et en prenant les clés de Gail. J'allais l'emmener dans la villa.

C'était une sublime blessure, j'allais encore m'en sortir avec une cicatrice. Toujours la cigarette à la bouche je regardais James encore dans mon lit. Il se leva, me fit asseoir et partit dans mon appartement, il revint avec de quoi me soigner. Le peu que je connaissais de lui, me laissais à penser qu'il risquait de ne pas être doux. Après tout c'était un soldat alors... Il me prévint quand même que ca allait piquer, je m'en doutais. Mais cette sensation de picotement n'était rien en comparaison de l'aiguille et du fil dans ma peau, ca c'était très douloureux, mais je ne disais rien, je serrais les dents. Il fit un bandage, fière de lui. Au moins c'était soigner et il n'y aurait pas d'infection enfin logiquement.

Une fois soignée, il me dit je t'aime avant de m'embrasser. Une main dans mes cheveux et l'autre sur mon ventre. Comment pouvait-il déjà me dire je t'aime, alors qu'on s'était rencontré depuis maximum trois heures. J'avais du vraiment chambouler son cœur, complètement. Jamais un homme n'avait été comme ca avec moi, jamais je n'avais eu l'impression d'exister autant aux yeux de quelqu'un. Il se leva, s'habilla et revint vers mi. Il prit mes clés et voulait visiblement m'emmener quelque part. Je ne comprenais pas mais été curieuse. Je me levais et attrapais mes sous-vetements que j'enfilais avant de mettre un jean et un tee-shirt, une paire de chaussure et j'étais partie.

" Mais on va où ? "

Je me demandais où il m'emmenait...

Prenant les clés de sa moto, j'avais prévu de l'emmener dans son nouveau chez elle. Ma villa, ma demeure pendant que je resterais à Seven Sins City. Dans cet antre de folie pure, Gail était la seule qui pouvait me faire oublier ce que j'étais....un soldat. Avec elle, je pouvais devenir un homme aimant pas une espèce de machine sans pitié et impitoyable bonne qu'à tuer ou donner des ordres, ce que je faisais si bien....Et oui, elle avait chamboulée mon cœur par sa seule présence, ce qu'une seule femme a réussie à faire avant elle mais elle est morte....Tuée par les Russes. Et depuis je n'ai de cesse à traquer les Makarov....Je partis dans son garage, trouvant sa moto mais malheureusement elle n'avait qu'un seul casque. Tant pis je ferais avec. Je grimpais sur la moto, mit les clés sur le contact et démarrais. Gail monta, posant ses bras autour de ma taille. Je me rendis vers la villa, délaissant son appartement miteux pour une vie meilleure et plus confortable.
Arrivé à la villa, je fis rentrer sa moto dans le garage avant de monter directement dans le gigantesque salon. Je lui fis la visite de l'endroit , de la cuisine aménagée aux chambres en passant par la salle de bain et en finissant par la salle à manger et oubliant volontairement de lui montrer l'armurerie que je cachais. Mais je la lui montrerais en temps voulu. Et à la fin, je remontais vers les chambres....Surtout pour repasser une nuit avec elle. J'entrais dans la chambre et me déshabilla, dévoilant encore une fois un corps musclé et saillant et je regardais Gail, prêt à lui bondir dessus tel un lion affamé. Alors je l'entrainais vers le lit et fis alors mon lion bondissant sur la frêle gazelle. Je l'embrassais sur ses lèvres tandis qu'une de mes mains se perdit dans ses cheveux et l'autre partit dans son pantalon pour lui caresser son intimité.