Que... Quoi... Lui? /Logan

Je m'étais levée tôt ce matin, car j'avais rendez-vous avec un homme. Oui, c'était à mon tour, aujourd'hui, je jouer la prostituée pour gagner de l'argent. Je n'en étais pas fière, vu mon passé, mais je devais jouer le jeu, pour elles, pour ce qu'elles avaient fait pour moi et ce qu'elles continuraient de faire. Elles étaient comme ma famille à présent. A cette idée, mon coeur se pinça, car non, il n'y aura jamais de vrai famille sans LUI, Logan, mon frère. Je m'empressais de quitter le manoir pour ne pas que l'on me voit pleurer. Je sortis rapidement mais pris mon temps pour traverser la forêt, et comme je la connaissais par coeur à présent, je n'avais pas besoin de me presser, je connaissais des racourcis. Il faisait beau, sans plus, mais le soleil m'avait permis d'enfilr une jolie robe aux tons neutres -bruns clair- et j'avais attaché mes cheveux. Portant pour l'instnt mes chaussures à la main pour ne pas les salir, j'attendis d'avoir quitté la forêt pour les enfiler. J'avais de magnifiques escarpins, pas question de les abimer. Après tout, j'avais rendez-vous, ce matin.

J'entrais alors dans la ville, empreintant des rues sombres et sinueuses, pour atteindre le batiment où m'attendait mon client. L'esprit plus ou moins ailleurs, je ne compris pas tout de suite que je suivais quelqu'un sans le savoir. Etrangement, un homme, grand et lourdement armé, allait dans la même direction de moi. Je compris alors: cet homme était venu pour tuer l'homme qui allait me donner l'argent dont j'avais besoin. Je couru alors discrètement vers lui, sortant délicatement le poignard que j'avais caché sous ma robe à la hauteur de ma ceinture. Je m'apprêtais à attaquer, me doutant que je n'aurais pas le dessus comme ça, mais je savais qu'un coup de couteau bien placé était aussi utile que plusieurs coupsde feu.

Je savais, sans avoir besoin de regarder derrière moi, que quelqu'un me suivait. Cette dernière allait dans la même direction que moi. L'antre du tueur psychopathe, tueur de femmes, sadique à l'extrême, était à quelques centaines de mètres. Je me posais des questions. Est ce que la personne derrière moi était à ses ordres tel un chien de garde, ou bien une âme égarée et innocente.....Je voulais en avoir le cœur net...Mais elle passa à l'attaque avant. Cette dernière courut vers moi, poignard en main. Je me retournais, saisit le mien et la désarma avant de l'attraper à la gorge. Mais en voyant qui j'avais attrapé à la gorge, je la lâchais et reculais. Non impossible. Personne ne pourrait survivre à une attaque aussi violente et pourtant elle était la preuve que si, cela était parfaitement possible.

- Sarah !

Ma sœur était bien vivante donc.... Je reculais encore sous le choc puis enleva mon masque, casque et lunettes multivision.



Le type sombre avec son armure lourde et lourdement armé avec son arsenal composé d'une machette dans le dos en plus de mon fidele HK417/M320, de mes deux Mk23 SOCOM SD et de mon MP7A1 ainsi que mon Benelli M4 et un Desert Eagle .50AE en backup et mon poignard préféré n'a pas de quoi rassurer.

- Sarah....

le seul fait de la voir me rendait furieux mais j'étais tout de même content qu'elle ait survécu. Qu'elle soit là avec moi. Elle a toujours été ma seule raison de vivre....et maintenant la perdre réellement je ne pouvais pas l'accepter. J'avais tellement à lui dire....Nous avions tellement à nous raconter. Je souris et desserrais les poings.

- Tu m'as tellement manquée Sarah....

Je la pris contre moi, les larmes aux bords des yeux. Sur le coup, je ne voulais plus la quitter. Puis je la lâchais regardant derrière moi et me rappellant mon petit rendez vous impromptu.

- Tu vas rendre visite à quelqu'un ? ca tombe bien....j'dois aller chez le même....régler des comptes. Tu vas m'aider....

Un sourire sadique étira mes lèvres. je remis mon équipement sur la tête et me remit en marche, l'air sombre.

Loupé. Je l'avais manqué, et il m'avait désarmé avant de me saisir à la gorge. J'allais me défendre lorsque j'entendis comme un murmure:

-Sarah !

Ainsi donc, cette personne me connaissait... Dommage, j'allis tout de même devoir la tuer. Mon agresseur recula et retira une partie de son équipement. J'en eu le souffle coupé. Serrant les poings, je me contrôlais pour ne pas défaillir. Logan! Lui! L'homme de ma vie, le seul sur qui j'avais toujours pu comter, le seul que j'aimais. Mon frère. Alors qu'il m'avait parfaitement reconnu, j'éspérais encore jouer l'inconnu, et lui répondre un truc du genre: "Non non, vous vous trompez, je mappelle Alix" Mais j'étais tellement heureuse de le revoir, que je ne dis rien. Logan vint me serrer dans ses bras, juste un instant. Un instant si court que je doutais encore de l'instant. Je me forçais à tenir debout, car à vrai dire, là, je n'étais capable de rien d'autre que de m'effondrer. Il dit alors:

- Tu m'as tellement manquée Sarah....

Je souris, avant qu'il n'enchaine avec ceci:

-Tu vas rendre visite à quelqu'un ? ca tombe bien....j'dois aller chez le même....régler des comptes. Tu vas m'aider....

Quoi?! Nous venions de nous retrouver, après avoir affronté la mort et lui, ne pensait qu'à une chose: régler des comptes. Avec MON client, en plus. Il était hors de question que je ne l'aide, j'avais besoin de cet argent, et j'avais surtout besoin de le garder en vie: entre autre, jamais Sarah ne devait refaire surface. Je me décidais alors à prendre la parole:

-Excusez moi mais, je ne comprend pas... Mais en tout cas, cet homme est à moi.

Je m'énervais toute seule à jouer l'indifférente, mais si je ne voulais pa attirer de problèmes à Logan, je devais rester morte. Je passais alors devant lui, repris mon poignard en main et me postais face à lui.

-Reculez, je m'occuperais de lui, mais partez, je vous en prie...

Je ne voulais pas lui faire de mal, ce serait mon pire cauchemard, mais il fallait quand même que je le protège en me cachant, et que je garde mon client en vie.

-Excusez moi mais, je ne comprend pas... Mais en tout cas, cet homme est à moi.

Sarah reprit son poignard, se postant devant moi. Je ne compris pas son attitude de suite mais je saisis tout de même qu'elle voulait me protéger. Et moi donc.... Son client était un psychopathe de la pire espèce et elle, elle voulait le garder en vie. Et merde quoi...

-Reculez, je m'occuperais de lui, mais partez, je vous en prie...

Je poussais un soupir exaspéré puis m'approcha d'elle.

- Cela ne sert à rien de me protéger. C'est trop tard. Ce serait plutôt à moi de le faire. Si tu es une Amazone, tu dois savoir ce que je suis devenu. Je suis Grimreaper. La terreur de ses rues. Et j'ai pour mission d'exterminer la racaille de Seven Sins. Ton client est un psychopathe et il finira par te tuer. Comme les autres. Des femmes. Mais ma faute est de penser boulot alors que tu es là, et que je suis heureux de te revoir même si je ne laisse rien démontrer. Désolé. Je ne suis plus le frère que tu as connu. Et pourtant j'ai tué. Nos parents. Je suis seul responsable de leur mort. Ma destinée a commencée dès lors. Et ton meurtre m'a fais descendre en Enfer. L'enfer de la violence et de l'alcool. Encore désolé. Cependant, veux tu passer une soirée avec moi ?

Cette fois, je gardais mon casque dans le creux de l'épaule gauche et la bataclava dans la main du même coté. Je lui souris puis la prit par la main de ma main encore libre.

- Suis moi....Je ne suis pas présentable ainsi habillé pour passer une soirée en ta compagnie charmante

Un nouveau sourire. Je l'emmenais à l'église pour me changer. Arrivé là bas, je fis fonctionner le sas secret pour pénétrer dans le Sanctuaire. Là bas, et contrairement à mes habitudes vestimentaires, j'optais pour des vêtements de couleur plus ordinaire. Un t-shirt blanc avec des calligraphies d'une marque que je ne reconnaissais pas que je mis par dessus mon gilet pare balles en composite lourd, un pantalon jean de couleur bleu assez large et des chaussures de sport qui pouvaient passer pour des chaussures de ville. Je passais sur mes épaules un holster contenant mes deux Sig Sauer P226R munis de silencieux préférés ainsi qu'un poignard militaire et le duo de MP7A1 que j'accrochais dans mon dos. Quand je mis ma veste de cuir noire, je vérifiais que mes armes n'étaient pas visibles. Non rien ne serait visible, et même si je fermais ma veste.

C'est ainsi que nous partions au restaurant à pied. Je pris ma sœur bras dessus bras dessous. Quand nous arrivions au restaurant, je la laissais entrer en première puis entra la suivant juste derrière. Nous avions tellement de choses à nous dire. Elle s'assit à table suivit par moi et le serveur vint prendre nos commandes d'apéritif. Sarah commanda et je prit un vodka martini à la façon James Shepard. Je commandais aussi une bouteille d'un vin rouge français assez chère mais d'un millésime excellent. Le serveur revint avec nos commandes et deux cartes puis nous dit qu'il reviendrait un peu plus tard quand nous nous serons décidé. Nous avions toute la nuit.

Logan soupira. Ne comprenait-il pas? J'avais passé tant de temps à souffrir cachée que je n'allais pas tout foutre en l'air en une soirée, surtout que je faisai ça pour lui.

-Cela ne sert à rien de me protéger. C'est trop tard. Ce serait plutôt à moi de le faire. Si tu es une Amazone, tu dois savoir ce que je suis devenu. Je suis Grimreaper. La terreur de ses rues. Et j'ai pour mission d'exterminer la racaille de Seven Sins. Ton client est un psychopathe et il finira par te tuer. Comme les autres. Des femmes. Mais ma faute est de penser boulot alors que tu es là, et que je suis heureux de te revoir même si je ne laisse rien démontrer. Désolé. Je ne suis plus le frère que tu as connu. Et pourtant j'ai tué. Nos parents. Je suis seul responsable de leur mort. Ma destinée a commencée dès lors. Et ton meurtre m'a fais descendre en Enfer. L'enfer de la violence et de l'alcool. Encore désolé. Cependant, veux tu passer une soirée avec moi ?

Il avait donc comprit que j'essayais de le protéger. Mais impassible, je ne baissais pas mon poignard, déterminée à le faire reculer. J'avais de la peine à le voir me raconter que mon 'meurtre' l'avait fait tant souffrir. Je rangeais mon poignard lorsqu'il me dit ceci:

-Suis moi....Je ne suis pas présentable ainsi habillé pour passer une soirée en ta compagnie charmante

Je soupirais, puis lui souris. Je pris la main qu'il me tendait, regardais autour de nous pour m'assurer que personne ne nous voit, et le suivais jusqu'à une Eglise où, passant par un passage secret, nous entrions dans un Sanctuaire, où il se changea. Le voir habillé en 'civile' me fit du bien, ça me rappelait le temps où nous vivions hors du danger de cette ville. Lorsqu'il fut habillé, bras dessus bras desous, je le laissais me guider, si heureuse de le retrouver, de le toucher, de le serrer contre moi, que je ne fis même plus attention aux gens alentour, et oubliais completement mon client. Cependant, une fois arrivés devant le restaurant, je retrouvais mes instincts, et recommençais à douter, à regarder partout autour de nous. J'avais peur que l'on ne nous voit, peur que nous y laissions la vie. Je m'assis sans rien dire à une table que l'on me présentait, puis l'on me demanda ce que je voulais comme appéritif. J'étais tellement préocupée que je répondais au hasard:

-Un wiski, s'il vous plait.

Alors, que je détestais le Wiski, je n'aimais pas ce quiétait fort. Ce n'est que lorsque j'entendis la voix de mon frère qui me rassura lorsqu'il commenda une vodka, que je me laissais m'apaiser. Après tout, c'était lui le Grimreaper, et je pouvais lui faire confiance, je le savais, et s'il trouvait que nous n'avions rien à craindre, c'est que c'était le cas. Je lui souris, me détachais les cheveux -histoire de paraître décontraté, et pas sur les nefs comme je l'étais encore un peu- et fixais mon frère. Il avait changé, pourtant, je l'avais reconnu si facilement. Et même dans dix ans, je l'aurais reconnu.

-Tu m'as manqué...

- Un wiski, s'il vous plait.

Pourquoi commanda-t-elle un whisky alors que je savais qu'elle détestait les alcools forts. Je la vis s'apaiser lorsque je commandais ma vodka. Je l'avais crû morte si longtemps, et voilà que maintenant elle m'était revenu tel un cadeau du ciel. Plus rien ne me séparerait d'elle. Même pas la Mort. Et le premier qui la toucherais, ou oserais lever la main sur elle connaîtrait ma fureur et mon courroux. Durant toutes ses années, elle n'avait pas changée. Sauf que maintenant elle était une femme. Et toujours ma sœur. Toujours ma protégée et mon seul rayon de soleil dans les ténèbres de ma vie.

- Tu m'as manqué...

Des mots simples qui me touchèrent beaucoup. Qui brisèrent la glace dans laquelle mon cœur était pris. Un simple sourire étira mes lèvres et je lui pris la main, la regardant dans les yeux. Je lui embrassais la main, faute de pouvoir me lever et l'embrasser sur le front ou la joue.

- Toi aussi et tu ignores à quel point.....Tu sais, j'ai l'impression de revivre, de redevenir un autre homme. Mais laisse moi encore du temps, Sarah. Ce que je suis devenu pourtant, personne ne pourra le changer. J'aime ce boulot....

Un nouveau sourire. Je repris la carte et me passa tous les plats un à un avant de faire mon choix entrée-plat-dessert. La totale. Comme entrée j'avais choisi la salade de chèvre chaud, ensuite une escalope milanaise avec des pâtes en accompagnement et mousse au chocolat au dessert. J'entendis la porte s'ouvrir. Et comme j'étais face à la porte et Sarah de dos, je vis un groupe de huit gars à l'air Russe et vachement suspect entrer. L'un d'eux me regarda bizarrement avant de taper l'épaule de son pote, un colosse qui me regarda tout aussi bizarrement que le premier. Ils échangèrent des paroles mais je les entendis. Ils parlaient en Russe. Ils étaient des gorilles de Makarov maintenant j'en étais sur. J'ouvris lentement ma veste et deux Russes ouvrirent leurs vestes pour sortir leurs automatiques. Deux MP5KA4. Ils m'étonneraient toujours. J'ordonnais à Sarah de se coucher mais elle réagit trop tard et se prit une rafale dans le dos dont une cartouche qui lui traversa l'épaule et percuta mon armure. Je fis basculer la table pour me protéger derrière et tira ma sœur vers cet abri temporaire. Je lui tendis un de mes Sig Sauer pour ensuite sortir de mon abri, Mp7 dans chaque mains. Je fis feu jusqu'à vider les deux chargeurs de 40 cartouches, tuant 3 Russes. Et beaucoup de civils se firent toucher par les Russes. Beaucoup connurent la mort aussi dont cette jeune femme touchée à la poitrine que j'avais portée dans mes bras vers un coin tranquille ou je pus l'abriter. Elle mourut dans mes bras. Je vis la blessure et les trois trous au niveau du cœur et du poumon et en conclut que le cœur et le poumon avait été perforé. Elle était morte sans agoniser. Je rangeais un Mp7 pour mettre l'autre en position SMG en tirant simplement la crosse rétractable et en faisant sortir la poignée avant rabattable. Je le rechargeais avant de rouvrir le feu depuis ma couverture. Je vis un Russe dégoupiller une grenade et la lancer.....Un modèle antipersonnel à fragmentation qui roula vers Sarah.....j'étais trop loin pour la renvoyer vers eux. Elle devait se débrouiller. Je touchais un Russe qui s'écroula mort et criblé de balles.

- Fais chier !

Je rechargeais une dernière fois le MP7 avant de courir vers Sarah et de me faire toucher à la cuisse. Je roulais à terre. Et alluma les Russes totalement à découvert. Une balle vint trouver mon épaule tandis qu'une dernière me brisa le genou. J'avais envie de pleurer tellement ca faisait mal mais les nerfs me firent trouver la force de ramper à terre pendant que je me servais de ma main libre pour tirer sur les derniers Russes. Sarah en avait abattu deux dont un en renvoyant la grenade. La table derrière laquelle Sarah était trouée et tachée de sang....je trouvais Sarah inerte, du sang sur le torse. Des balles avaient traversés la table et aussi son dos ou son torse, je ne savais pas....Puis je tombais dans les pommes après que des gars de la Shadow et deux Mastodontes pénétrèrent dans le restaurant devenu champ de bataille. Un médecin diagnostiqua ma soeur. Il disait qu'elle s'en sortirait car les balles n'avaient touchés aucun organe vital. Puis je tombais dans les pommes tandis qu'on me transportait dans l'ambulance escorté par la Shadow. On nous emmena au camp Arès....

Logan souria. J'en fu surprise. J'avais toujours écouté les rhumeurs au sujet de mon frère, et l'avais toujours suivit de loin, histoire de veiller sur lui comme je le pouvais. Et de ce que j'en avais entendu, cet homme qu'était devenu mon frère n'était pas du genre à sourire, ni du genre à faire une déclaration comme il venait de me le faire. Je lui souris à mon tour, caressais sa main avant qu'il ne la retire et regarde sa carte, je fis de même. Il commanda, alors que moi, toujours aussi difficile, pris plus de temps à choisir. Pou finir, je me commandais une salade, et une pizza... Oui, une pizza, c'était simple et peu raffiné, mais ça m'avait permit de garder le moral alors que j'étais allongée sur mon lit d'hopital, attendant que mes blessures intenses de ma mise à mort ne se referment. En dessert, je me prenais une simple salade de fruit. Je souris ensuite à mon frère, qui étrangement, regardait l'air souciex derrière moi. Je me crispais direct, persuadée que nous avions été découverts. Et j'avais eu tout bon. Un cri de mon frère m'annonça que des Russes étaient entrés et que je devais me mettre à terre, mais je n'eu pas le temps de réagir que je me fis tirer dessus. Par chance, je loupais toutes les balles... Ou presque. Une vint se loger dans mon épaules, ce qui m'arracha un cri strident. Je suivis ensuite mon frère derrière la table qu'il avait basculé, et il me donna un Sig Sauer . Les armes à feu, je ne les aimais pas. Malgré que mon épaule me fasse mal à en pleurer, je laissais Logan partir de son côté et, sortant en une fraction de seconde mon poignard, je l'envoyais direct sur un ennemi, qui lui arriva entre les deux yeux. Je souris, j'aimais les armes à blancs, et le mieux, c'est que je les maîtrisais mieux que quicquonque. Mais n'ayant plus mes armes de prédilection, je fini par ramasser le Sig Sauer de mon frère et tirais.

Le restaurant était devenu un vrai champ de bataille, les civils criaient, pleuraient, fuyaient... Quelques-uns furent touchés, ou même tués. Je blessais un Russe en lui tirant dessus au niveau des poumons, et Logan se charga de l'abattre en tirant une balle qui l'acheva. Je me surpris à penser que nous faisions une bonne équipe, cependant, je n'eu pas le temps d'y penser plus longtemps, un enemi avait envoyé une grenade sur moi. J'allais la ramasser, lorsqu'une balle traversa la table et me toucha dans le dos. J'en eu le souffle coupé, tellement le choc avait été violent, la balle avait dû passer juste à côté des poumons. Dans un dernier effort, j'envoyé la grenade sur les Russe, qui exposa quelques secondes après. Je n'eu même pas le loisir de regarder les dégats qu'avaient fait la grenade, que je tombais à terre. Je vis à peine Logan s'approcher de moi, avant d'enttendre les renforts arriver, lorsque je m'écroulais.


Il faisait froid, peut-être même humide. Grimaçant, j'ouvris les yeux. Qu'elle surprise de se découvrir dans un campemant, le corps enroulé entre pensements et autres, son frère sur un autre lit pas très loins de soit. J'en eu envie de vomir. Mais merde quoi, on avait même pas eu le droit à des retrouvailles, on avait eut le droit à un carnage. C'était pas la première fois que je me retrouvais en si mauvais point, j'avais vécu pire, bien pire, le jour où l'on avait tiré sur moi pour la première fois de ma vie, et que j'avais été entre la vie et la mort pendant des mois. Cependant, les seringues et les perfusions n'étant pas mon fort, je m'empressais de ls retirer.

-Berk!

Je regardais ensuite vers mon frère, fit un effort pour me redresser, ce qui m'arracha un petit cri. J'avais l'impression d'avoir tout le buste en feu, tellement ça faisait mal. Je passais une main sur ma poitrine: j'avais dû y recevoir une balle, la plaie était encore bien ouverte, je pouvais la sentir. Mon épaule, elle, semblait presque endormi. Depuis quand étions nous là? Avait-je dormi longtemps?

Je dormais, bercé par le néant. Un néant artificiel provoqué par les injections de morphine qui maintenant dans un sommeil tout artificiel et une apparente paix intérieure. Mais rien ne me prépara au cauchemar que j'allais vivre. Un cauchemar que ma sœur vivrait en même temps. Un rêve commun....Tout commença alors que dans mon rêve j'étais habillé en tenue de combat, la même que j'avais utilisé quand j'avais rencontré Sarah un peu plus tôt. J'avais mon poignard, mon pistolet 9mm avec silencieux et une mitraillette avec silencieux ainsi qu'un taser. J'étais dans les rues, près de ma villa et ma sœur m'y attendait. Je me baladais dans la rue silencieuse et sinistre quand je vis une ombre. Cette ombre m'attendit au bout de la rue. Puis je la vis prendre forme et j'en fus horrifié. Mon père. Il s'approcha vers moi, m'attrapa à la gorge et me souleva de terre comme si je n'étais rien. Et moi j'étais tétanisé par la peur tandis que je vis les flammes de la folie danser dans ses yeux. Et il me parla d'une voix sourde, irréelle.

P - Logan, nous revoilà. Et maintenant tu vas finir ce que j'ai commencé.....tuer ta soeur. Mais avant tu vas lui faire mal. Plus mal encore que je ne l'ai jamais fait....

L - Quoi !!!! Jamais ! Tu l'entends jamais !

P - Pauvre fou.....regarde ce que tu es devenu. Une ombre, une larve insignifiante. Et juste pour ca tu me serviras.....Je serais toi, dans ce corps qui est le tien.

Il pénétra mon âme, prenant possession de chaque parcelle de mon corps. Au final je me relevais mais je n'étais plus moi. Et une envie de meurtre avait aussi pris possession de mon esprit. Une seule mission.

Je retournais dans la villa, poignard en main. J'ouvris la porte avec la clé que j'avais caché sous un pot. Puis je rentrais dans le salon, en tenue et avec le poignard en main. Je me tenais immobile tout en regardant ma sœur. Que je ne voyais plus comme ma sœur mais comme une de ses vermines que je devais éliminer. Elle était habillée en robe simplement comme à son habitude. Je rangeais le poignard et sortit le taser. Je m'assis à ses côtés et plaqua le taser contre ses côtes avant d'envoyer une décharge. Puis j'envoyais la deuxième décharge alors que je plaçais les électrodes contre son cou. Les deux décharges n'avaient pas pour but de la mettre K.O. mais de l'immobiliser tout en la laissant consciente de ce qui allait lui arriver. Mes mains se baladèrent sur ses seins que je tâtais, appréciant leur grosseur. Je rangeais le taser et enleva cagoule et casque pour lui malaxer les seins à deux mains et l'embrasser sur les lèvres.

Tout en regardant Logan, je m'étais sentie à nouveau poussée à l'inconscience. Regardant à ma gauche, je remarquais encore une perfusion à mon bras, dont le liquide devait être de la morphine. J'eu l'irresistible envie de l'enlever, mais m'allongeais à nouveau, comme droguée.

Le sommeil ne fut pas long à m'accompagner vers des rêves multiples, avant que mon subconscient ne rencontre un obstacle: Un cauchemard. Mais pas un cauchemard comme les autre, il serait paragé, enduré à deux je le sentais. Une sensation étrange me fit presque trembler, car je sentais que la personne qui allait partager ce 'rêve' pouvait m'être dangereuse. Ce qui s'avéra être vrai...

J'étais assise tranquillement sur le sofa du salon. Tout semblait calme, pour un cauchemard. Le pire dans les rêves, c'est lorsque que l'on est conscient que l'on dort, mais que l'on ne peut tout de même pas en sortir. J'étais vêtu de vêtements légers, comme à mon habitude: une robe aux tons clairs et chaleureux. Je me demandais pourquoi j'étais là, mais je sentais comme l'obligation d'attendre quelqu'un. J'attendis donc... Logan arriva, même sous sa tenue de combat, je pouvais facilement le reconnaître. Je compris alors que c'était lui, qui partagerait mon rêve. J'allais lui demander s'il savait comment était-ce possible qu'un rêve soit partagé, lorsqu'il s'assit pret de moi, poignard en main. Je levais le regard vers ses yeux brulant d'une rage étangre, éspérant comprendre ce qui lui arrivait. Il rengea alors son arme, pour en osortir une autre. Un taser, qu'il n'hésita pas à mplaquer contre mes cotes, ainsi que contre mon cou.

J'en eu le siffle coupé, tous mes membres s'étaient immobilisés, je voyais presque trouble.

-Arrête, arrête.

C'était la seule et unique chose que je sus dire, lorsque Logan rengea son arme avant de poser ses mains sur moi, et de me caresser la poitrine. Je fronçais les sourcils, me concentrais sur le peu de forces qu'il me restait avant de donner un coup de coude dans le ventre de mon frère, et de me lever du sofa. Le corps tout engourdis, je ne pus faire que quelques pas avant de m'effondrer à terre.

-Arrête, arrête.

Le coup qu'elle me mit dans le ventre eut raison de moi et m'enfonça encore plus dans la démence. Sarah se leva du sofa et ne fit que quelque pas avant de tomber, le corps encore tout engourdi du coup de Taser. Je la pris par les pieds et la tira vers moi avant de relever sa robe au niveau des hanches, tirer sa culotte, écarter ses cuisses et défaire ma braguette dans le seul et unique but de la violer. Je fis rentrer ma verge dure et droite dans son intimité et ne lui fit montre d'aucune douceur tandis que la pénétrais violemment et fit des mouvements de hanches d'autant plus rapide et violent. Je ne disais rien mais éprouvais non pas de la pitié mais juste une envie de sexe insatiable en même temps qu'une envie de sang à ne pas pouvoir étancher. Lorsque j'eus finis avec elle, je me retirais d'elle, mon sexe encore trempé et referma mon pantalon. Je sortis mon poignard et la frappa avec violence dans le dos à plusieurs reprises. Puis je la retournais sur le dos, déchira sa robe a coup de couteau et découpa son soutien gorge. Alors je la frappais dans le ventre à 3 reprises, laissant des marques aussi profondes que mortelles. Elle agonisait. Tandis que je tenais encore le couteau dont la lame était ensanglantée dans ma main droite, je caressais sa joue de ma main libre. Faisant montre du seul moment tendre avant de la tuer pour de bon. Et cette fois, j'enfonçais la lame du couteau jusqu'à la garde dans sa poitrine, lui perçant son sein avec facilité pour finalement atteindre son cœur. Je la regardais mourir, un sourire de prédateur aux lèvres. Et quand elle rendit son dernier souffle, le poignard toujours dans sa magnifique poitrine maintenant abimée, je pris son cadavre et m'en débarrassa, le jetant dans une poubelle comme on jette quelque chose d'usagé.

Cependant le cauchemar n'était pas terminé, la tourmente allait continuer.....et personne ne pourrait nous libérer.... Je gémissais et me débattais. Le médecin tenta de nous libérer, mais rien ne pouvait nous libérer sauf nous mêmes. Et nous allions devoir trouver une solution tout en endurant le martyr. Sauf que la libération ne verrait le moment arriver qu'à la fin de cette torture.

Cette fois, toujours avec l'esprit de mon père à l'intérieur qui me corrompait, je me trouvais dans une ruelle sombre. Et Sarah passait devant moi, ne me voyant pas moi qui était dans l'ombre. J'vais deux nouvelles armes avec moi : une arbalète et un fusil à lunette. Mais j'armais la mitraillette à silencieux intégral. Et sortis de l'ombre, arme à l'épaule. Prêt à faire couler le sang une nouvelle fois....

Je n'eu le temps de reprendre mon souffle, que je me fs tirer par les pieds, un cri m'échappa. Alors que je tentais d'attrapper le pied de la seule et unque table qui se trouvait dans le salon, Logan, dans toute sa colère et sa folie, releva ma robe dans le but de me violer. J'en fu profondemment surprise, peinée, décourragée, appeurée... Tout ce que vous voudrez. Je me mordis à la main, m'empêchant de crier, ce qui lui ferait trop plaisir. De ma main libre, je tentais toujours déséspéremment d'atrapper quelque chose. Une fois que Logan en eut finit avec mon sexe, il me frappa violemment le dos, et cette fois, je ne pu retenir mes cris stridents qui caractèrisaient à merveille la douleur. Lorsqu'il me retourna, je lu dans ses yeux la même folie que j'avais connu chez mon père, il y avait bien longtemps de ça. Tétanisée par le regard que me portait mon frère, je ne réagis même pas lorsque celui-ci me poignarda. J'en eu le souffle coupé, le corps tremblant, l'esprit assaillit de douleur. Il donna alors un dernier coup, mortel, dans ma poitrine. Je suffoquais sous le regard triomphant et supérieur de mon frère, avant de perdre connaissance...

J'eu un instant d'éveil, où je réussis presque à me reconnecter avec la réalité. J'avais conscience du cauchemard, que tout ceci n'était pas réel,mais pourtant, rien ne pouvait me ramener à la réalité. J'entendis des médecins crier autour de moi, mon corps me semblait si fragile, mon esprit aussi.
'Dépéchez-vous, la fille est prise de spasme!'
Et l'inconscience me reprit..

Il faisait froid, pourtant, j'étais une nouvelle fois vêtue d'une robe légère. Je ne savais toujours pas ce que je faisais là, j'avais attérie dans une ruelle sombre, où, après quelques pas, je me rendis comte que c'était une impasse. Je fus alors prise de panique. Si ce cauchemard était lui aussi partagé, Logan pourrait arriver d'un instant à l'autre, et moi, je ne pourrais fuir. Je n'eu pas le temps de réagir qu'une présence se fit ressentir, sortant de l'ombe: mon frère. Je me retournais pour lui faire face. Cette fois, ce serait different, parce que cette fois, j'étais armée d'un poignard. Et tout le monde sait ce dont je suis capable avec UN poignard. Je pris alors mon arme en main, mon regard éléctrisant dévisageant Logan.

-Recule!

Logan avança. Je ne voulais pas le tuer, et surtout: je ne le pouvais pas. Il était et restait mon frère, même après ce qu'il venait de me faire subir. Mon poignard ne pourrait donc pas lui arriver en plein coeur ou entre les deux yeux, je devais trouver autre chose. J'eu alors une idée: Si je lui envoyais le poignard dans la jambe, ou au niveau de son sexe, j'aurais le temps de fuir pendant qu'il gémirait. C'était à prendre ou à laisser, je n'aurais pas de deuxième chance. Ni une ni deux, m'en voulant déjà de ce que j'allais faire, j'envoyais le poignard entre ses deux jambes, et le temps qu'il se plie en deux et qu'il gémisse, je courrais dans sa direction, le dépassais, et fuyais vers la seule issue qui se trouvait derrière lui.

Je me savais bonne tireuse, et heureusement pour moi, je l'étais. Ce fut donc facile pour moi d'atteindre les parties génitales de mon frère. Je détestais lui faire du mal, mais je savais de quoi il était capable, et j'avais peur de lui à cet instant.

Je l'avais dépassé sans difficultés alors que Logan se pliait de douleur. Je réussit à faire quelques pas avant de me prendre des balles dans le dos, j'en eu le souffle coupé. Du sang faillissait presque de ma bouche tellement le choque fut violent. Je tombais à terre, Logan en profita. Je sentis une lame me transpercer le dos, mais j'étais déjà tellement affaiblis que je ne réagis pas. Il me retourna. Son visage était effrayant, son regard l'était tout autant. Couteau en main, il me dévisageait d'un regard noir. Ni une ni deux, il n'hésita pas à m'enfoncer le couteau au même endroit ou je lui avais envoyé le mien, je n'eu même pas besoin de retenir un cri: le sang qui sortait de ma bouche m'en empéchait déjà. N'ayant plus aucun contrôle sur mon corps, ne ressentais même plus la douleur tellement celle-ci était forte. "Qu'on en finisse", c'était la seule chose correcte que j'arrivais à penser. Je fu nue en moins de deux, et Logan me forca à me mettre à genoux. C'était incroyable que je tienne sur mes genoux, d'ailleurs je ne compris pas vraiment comment je m'y prenais. Mon frère descendit la fermeture de son pantalon. "Pas ça, pas ça". Et si... ça. Je l'aurais mordu si j'en avais eu la force, je lui aurais arraché son membre si je l'avais pu, tellement il m'écoeurait à présent. Il jouissait tandis que je perdais peu à peu connaissance, mon corps se déchirait de l'intérieur, mon esprit saignait de honte et de rage. J'eu envie de crier, d'hurler. Il finit par me lacher, je tombais à terre, comme déjà morte. Je ne comptais même plus le nombre de fois où je me fis transpercer par des balles.

J'eu un spasme si brutal que j'en eu le vertige, ce qui me réveilla. J'avais un mal de tête pas possible et pleurais toutes les larmes de mon corps. Moi? Pleurer? C'était définitivement honteux, cette histoire. Logan se trouvait non loin de moi, j'allais lui sauter à la gorge lorsque des infirmiers et infirmières me sautèrent dessus pour m'en empécher.

-SALOP!! Lachez moi! Lachez moi!

J'étais si en colère que mes yeux m'em brulaient et que j'en avais mal à la gorge. Je me débattais comme je pouvais mais ils devaient être 6 ou 7 contre moi.

-J'vais le tuer! J'vais le tuer!

Ma rage fut-elle, que ça m'épuisa sur le coup Je n'étais déjà pas en grande forme, alors m'énerver comme ça contre mon frère, me fit tomber à nouveau dans l'inconscientblockquote>